Après un an d'activités soutenues par vos visites régulières et de retour en Asie pour raison professionnelle, je vous invite désormais à me suivre sur INSTAGRAM sous l'appellation playfulobjects. Merci de votre fidélité et au plaisir de vous retrouver!
Autrefois, les lettrés chinois prenaient le temps. Le temps de rêver, le temps de flâner, le temps de regarder toutes ces petites choses qui nous entourent et auxquelles nous ne prêtons plus attention. Pourquoi n'en ferions-nous pas autant? Voici donc un petit cabinet de curiosités virtuel qui sera alimenté au gré des humeurs et des trouvailles. Une proposition de promenade comme une échappée dans un marché aux puces, ou comme une évasion symbolique dans la montagne sur une pierre de lettré.
Les images de rues animées, répandant des parfums de cuisine, emplies de bruits et de conversations, ne font-elles par rêver en ces temps de confinement? Profitons de ce voyage culinaire et exotique proposé par cette gravure du XIXe siècle.
Sur les anciens sites de fours chinois identifiés et fouillés se dressent souvent des musées, dont les boutiques proposent des imitations de pièces réalisées sur place, avec les mêmes matériaux et les même techniques. Il s'agit alors de vrais-faux très réussis! Et quel plaisir ensuite de repartir chez soi avec une copie d'époque Song!
En ces temps troublés par la maladie, peut-être serait-il temps de faire un petit pélerinage au temple de l'Etoile de l'espérance et d'y offrir un peu d'encens?
De nombreux édifices ont fait les frais des guerres de l'opium et n'existent plus aujourd'hui. C'est le cas notamment de la fameuse pagode de porcelaine qui surplombait la ville de Nankin et dont il ne reste aujourd'hui plus que des gravures.
Magnifique découverte dans les salles de ventes à Genève. Cet ancien boîtier de montre reconverti en boîte! Autrefois au XIXe siècle, les ateliers neuchâtelois créaient pour la Chine les plus pures merveilles horlogères. Un calibre dit "chinois" embelli d'émaux souvent commandés aux artisans genevois et qui connaissait un succès retentissant. Le décor exotique - ici un portrait de femme blonde élégante tenant un éventail - séduisait alors son monde.
Cette vision originale de la Cité interdite, palais impérial de Pékin, a été effectuée depuis la Colline de charbon. On distingue au loin quelques édifices des quartiers occupés par les Occidentaux, aux portes de la capitale.
Encore une nouvelle découverte aux puces de Genève!
Nouvelle trouvaille aux puces de Genève...
C'est aussi la faune et la flore de Chine que les Occidentaux découvrent avec bonheur au XIXe siècle.
De nombreuses traces demeurent qui racontent l'immigration chinoise aux Etats-unis, particulièrement pendant la période de la Ruée vers l'or.
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